Semaine 7

Semaine 7.

Il n’y a aucun enfant néerlandais, ni français. Tous les clients dans le camping avec des enfants, est anglais ou allemand. On fait le club enfant avec 20 enfants. Il y a deux semaines qu’il y avait 45 enfants ! C’est bien calme, mais j’aime mieux travailler avec beaucoup des enfants.
Si je fais une activité avec les adultes, il y a 5 ou 6 personnes. C’est bien pour le tennis. Tous les jeudis matin, je fais le tennis avec les adultes et ados. On fait un petit tournement, et c’est très bien à faire !
Maintenant, j’aime bien le tennis. Je ne joue pas fort, mais j’aime bien le jouer !
La fin de la saison vient, ça c’est claire. Il y a de moins en moins enfants, et de moins en moins clients. A la fin de la semaine, il n y a aucun néerlandais, ni anglais. Il y a que des vieux français.
Cette semaine, j’ai parlé beaucoup aux gens français qui restaient dans le camping. Je commence à réfléchir mon séjour ici. J’ai parlé aux gens qui viennent de partout. De Marseille, de Lille, de Paris, de Nantes, de Strasbourg…
Tous les gens sont les mêmes, et au même temps différents. Les gens qui viennent de la Vendée sont fières, et ils sont assez dur à comprendre. Leurs accent est comme l’accent de chez moi.
Les gens qui viennent de Lille, sont très faciles à comprendre. Ils parlent presque sans accent, et ils prononcent les mots très clairs.
Les gens qui viennent de Paris sont comme les gens d’Amsterdam aux Pays-Bas. Fières, mais aussi avec un accent très difficile.
Il n’y a pas de gens que je n’ai pas aimé. Ce camping est un peu comme des tsiganes. Des hommes avec des tatouages, très musclés ou très gros. La première fois que je les voyais j’avais peur, mais quand on parle avec eux, ils sont très gentils et sociales.